12 juin 2008
André Maurois
Pour que l’Europe, un jour que je souhaite prochain, se fasse, il faut avant tout qu’il y ait des Européens, c’est-à-dire des hommes qui, outre leur culture nationale, aient compris, senti, la culture des autres pays du continent et qui, au-delà de cette bigarrure, perçoivent ou pressentent quelque uniformité.
André MAUROIS
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